J’avoue que je tien beaucoup a elle
J’avoue que je vivrai un amour éternel
Avec Ilham le monde est une merveille
Une heureuse vie et une vérité réelle
Dans mes firmaments elle s’envole comme une hirondelle
Le jour elle est mon soleil
Et la nuit mon étoile
Ilham ? Est une femme exceptionnelle
Des caprices, des toquades passionnelles
Et suis devant elle un amour parcelle
Son existence dans ma vie une ruche de miel
Et entre ses délices je butine comme une abeille
Ses mains opalines un berceau et tonnelle
Je nage dans ses creux sans m’émerveiller
Si c’était un rêve ou un virtuel
Je la vois un cierge dans sa chandelle
Eclaire mes sombres chemins cruels
Son visage une lune au ciel
Me couvre me protège par son étincelle
Ses yeux des diamants et des perles
Epater les regardant par leurs corolles
Ses lèvres prémices d’une vie perpétuelle
Au couleur vermeille
Et moi le marin perdu en elle
Monter sa mer sans bateau sans voile
A sa beauté ; a son amour je serai fidel, fidel, Fidel
O ! Ilham…
O ! Ma très chère Ilham
Aujourd’hui c’est ton anniversaire
Je ne pourrai être ton héro légendaire
Je ne pourrai être ton cavalier imaginaire
Et tu ne pourras jamais être ma rosière
Mais une goutte de larme dans mes paupières
De cet amour, que les parois cachent sa lumière
Tuent tout rêve être ensemble comme amants dans l’histoire
J’avoue que je vivrai un amour éternel
Avec Ilham le monde est une merveille
Une heureuse vie et une vérité réelle
Dans mes firmaments elle s’envole comme une hirondelle
Le jour elle est mon soleil
Et la nuit mon étoile
Ilham ? Est une femme exceptionnelle
Des caprices, des toquades passionnelles
Et suis devant elle un amour parcelle
Son existence dans ma vie une ruche de miel
Et entre ses délices je butine comme une abeille
Ses mains opalines un berceau et tonnelle
Je nage dans ses creux sans m’émerveiller
Si c’était un rêve ou un virtuel
Je la vois un cierge dans sa chandelle
Eclaire mes sombres chemins cruels
Son visage une lune au ciel
Me couvre me protège par son étincelle
Ses yeux des diamants et des perles
Epater les regardant par leurs corolles
Ses lèvres prémices d’une vie perpétuelle
Au couleur vermeille
Et moi le marin perdu en elle
Monter sa mer sans bateau sans voile
A sa beauté ; a son amour je serai fidel, fidel, Fidel
O ! Ilham…
O ! Ma très chère Ilham
Aujourd’hui c’est ton anniversaire
Je ne pourrai être ton héro légendaire
Je ne pourrai être ton cavalier imaginaire
Et tu ne pourras jamais être ma rosière
Mais une goutte de larme dans mes paupières
De cet amour, que les parois cachent sa lumière
Tuent tout rêve être ensemble comme amants dans l’histoire
